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JMJ : retour de Panama

[...]Les JMJ (Journées mondiales de la Jeunesse) ont eu lieu fin janvier au Panama. Il fallait être audacieux pour inviter les jeunes à méditer sur le « oui » de Marie, son « fiat ». Le pape François connaît bien le cœur des jeunes et leur désir d’engagement. Aujourd’hui comme hier, les jeunes ont soif d’idéal. Ils ont le désir de se mettre au service des autres. Et leur cœur est ouvert à Dieu. Voilà pourquoi  le pape leur donne en modèle la « servante du Seigneur ».



redécouvrir la confiance

 Ils ont en revanche besoin de redécouvrir la confiance, face aux multiples angoisses d’un monde incertain et d’un futur qui apparaît dangereux. Voilà pourquoi il est bon qu’ils se mettent à l’école de Marie, de sa confiance en Dieu face à l’inconnu de cette vocation qui la conduira de la crèche à la croix.


faire silence

Dans un monde agité par de nombreux bruits, ils ont aussi besoin d’apprendre l’écoute. Et ils ont soif de cette Parole qui vient de Dieu. Pour dire comme Marie « qu’il me soit fait selon ta Parole », il faut apprendre à écouter, entrer dans le silence, la contemplation. A travers les temps de partage (où le frère devient porte-parole de Dieu), à travers les temps de prière, à travers les catéchèses, comme à travers la joie vécue, ces JMJ de Panama ont été un temps fort à l’école de Marie, pour les jeunes du monde entier. Parmi eux, une petite délégation de Bretons, dont une douzaine de Finistériens accompagnés de notre évêque. [...]

 

P. Erwan de Kermenguy, 
aumônier des étudiants 
de Brest